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Nouveautés
Science et littérature Numéro 148, Hiver 2008
2 1
9 2 Aller au sommaire du numéro
Éditeur(s)
Les Publications Québec français
ISSN 0316-2052 (imprimé)
1923-5119 (numérique)
2 1
9 2 Découvrir la revue
Citer cet article
"Nouveautés." Québec français 148 (2008): 4–24.
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Tous droits réservés © Les Publications Québec français,
2008
CilNXE
NELLY ARCAN et
PASCALE BOURGUIGNON
L'enfant dans le miroir
Marchand de feuilles, Montréal
2007,64 pages
ponctuer ou parachever le conte, ces
dessins surréalistes composent avec
le texte, forment l'œuvre avec lui.
Partout, la germination. Ça grandit
de toutes parts, même à partir des
mots, des plantes inédites, des morceaux
humains déformés, des griffes,
des bouches, des seins, des insectes,
des bêtes, des membres poussent et
s'assemblent en une grande machine
terrifiante, cauchemardesque. Les
images de Bourguignon frappent
l'imaginaire par la conjonction surprenante
d'éléments hétérogènes et
ils sont incessamment portés à cartographier
le cortex de cette idée de la
folie d'un monde obsédé par le corps,
de sa transformation aux dépens de la
déformation de l'âme. Dans les dessins
de Bourguignon, ce que l'on voit, c'est
la déviation du corps à travers celle
de l'âme, des créatures obscènes et
redoutables. On pourrait même dire
que l'impact du texte paraît quelque
peu atténué en regard de la férocité
de certaines illustrations.
GABRIEL LAVERDIÈRE
ESSAI
P
aru quelques mois avant le troisième
roman de l'auteure, À ciel
ouvert, le court conte, L'enfant dans le
miroir, s'inscrit en continuité de l'œuvre
amorcée avec Putain, soit l'analyse
d'obsessions que l'on dit contemporaines,
celles du corps, celui des
femmes en particulier. C'est le portrait
de l'aliénation des femmes à travers
la dislocation de leur corps et de leur
esprit, ou de leur corps tout court,
de ses parties. On reconnaît le ton de
l'écrivaine, une forme de narration au
«je » du genre témoignage, et toujours
cet aplomb. Arcan pose des images
comme des briques, l'une sur l'autre, et
construit ce qu'on pourrait appeler une
petite généalogie de la folie.
Une fillette, trop petite pour se voir
en entier dans les miroirs, les regarde,
placés en hauteur, hors de la portée
des enfants comme ces produits nocifs
que les parents rangent soigneusement
dans les armoires. Et ça pousse,
comme une plante, un rhizome dans
la tête : une idée du danger. La fillette
grandit, sa mère se fane, la gifle. Elle
la frappe peut-être pour ça, parce
qu'elle vieillit ou qu'elle est déjà folle :
« Quand j'étais petite, ma mère m'a
giflée une seule fois mais elle m'a aussi
appris à me nettoyer le visage vers le
haut [...] Pour me convaincre de ne
pas le nettoyer vers le bas elle allait
chercher l'image du bulldog ; selon
elle les joues des femmes pouvaient
pendre comme celles des chiens »
(p. 28, 30). La fillette devient fille, et se
voit dans le miroir. Puis à quinze ans
commencent les problèmes de poids.
Le poids, jamais celui-là, toujours
l'autre, le rhizome prend de l'expansion,
ça se creuse une place dans la
chair de la tête : encore plus, perdre
du poids. « Il faut dire qu'en devenant
athée l'humanité a voulu perdre du
poids pour se conserver plus longtemps
dans la même forme » (p. 35). La
fille devient adolescente et s'enfonce
en elle-même, à quinze ans elle veut
en avoir l'air de dix, ni vu ni connu :
« Ma mère est passée à côté de mon
anorexie sans doute à cause de sa propre
capacité à disparaître » (p. 38). Et
en deçà de l'effacement de la mère, il y
a la folie du père qui mesure sa fille, la
pèse et qui se pose devant elle comme
l'image du consommateur : ce corpslà,
pas celui-là. Le rapport au corps des
femmes est un rapport capitaliste sur
lequel, après tout, le client règne.
Au texte de l'auteure sont ici
jointes des illustrations de Pascale
Bourguignon. Or, loin de seulement
MARGUERITE DURAS
Cahiers de la guerre
et autres textes
P.O.L/lmec, Paris
2006,4A6 pages
L
/Institut Mémoires de l'Édition
contemporaine (IMEC) a publié,
à l'occasion du dixième anniversaire
de la mort de Marguerite Duras, un
volume de textes posthumes réunissant,
disent les éditeurs, « la part la plus
exceptionnelle des archives déposées
par elle ». Cahiers de la guerre, c'est le
titre que Duras avait inscrit sur une
enveloppe contenant quatre cahiers,
rédigés entre 1943 et 1949, donc pendant
la guerre ou juste après. Ils sont
composés de fragments de dimensions
variées, allant, dans le Cahier rose marbré,
d'une soixantaine de pages pour
les deux premiers textes, à quelques
lignes (p. 139). À ces cahiers, les éditeurs
ont ajouté d'autres courts textes
autobiographiques et six brefs récits.
Le caractère fragmentaire et inachevé
de cet ensemble frappera probablement
les lecteurs non familiarisés avec
l'œuvre de Duras. Mais les lecteurs
fidèles y trouveront les thèmes, les
lieux et les personnages majeurs de
l'univers durassien dans toute la fraî-
4 | Que'bec français 148 | HIVER 2008 
cheur de leur origine. La guerre n'est
pas le thème unique de ces cahiers,
les souvenirs d'Indochine lui disputent
la première place. C'est la sauvegarde
de ce passé qui est la première motivation
de l'écriture :«[...] j'écris ces
souvenirs [...] pour les mettre au jour,
simplement. J'ai l'impression que je les
déterre d'un ensablement millénaire
[...] C'est très simple. Si je ne les écris
pas, je les oublierai peu à peu. Cette
pensée m'est terrible » (p. 73).
Tout se passe en effet comme si une
part essentielle de l'œuvre future était
déjà en germe dans ces textes de jeunesse
destinés à lutter contre l'oubli.
Dès la première phrase du premier
texte : « Ce fut sur le bac qui se

467
T a b l e   d e s   m a t i è r e s
Sommair
e
 .
5
Introductio
n
 .
7
Partie
I
Le Moyen Âg
e
Naissance.de.la.littérature.française.
 .
.
1
1
Un.peu.d’histoire....
 .
.
1
2
Des.faits.marquants.
.
1
3
Culture.et.littérature.
 .
.
1
4
Les.grands.genres.
 .
.
1
5
Chapitre 
1
 : 
Du latin au 
français
.
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
1
7
Évolution.du.français.
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
1
7
Très.ancien.français
.
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
1
7
Ancien.français
.
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
1
8
Moyen.français
.
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
1
8
La langue au Moyen Âge
.
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
1
9
Chapitre 
2
 :  
Les 
premiers textes 
de la « littérature française »
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
2
1
 La
Vie de saint Alexis
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
2
3
Chapitre 
3
 : 
Les 
genres littéraires
 au Moyen Âge
. .  .  .  .
 .
.
2
5
Mo    nde épique, monde courtois
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
2
7
Les chansons de geste
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
2
8
La Chanson de Roland
 .
.
3
2
Les romans d’aventures et d’amour
 .
.
3
4
Chrétien de Troyes
 .
.
3
5
Le Roman de Renart
 .
.
3
7
Les troubadours et les trouvères
 .
.
3
9
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468
Le Roman de la Rose
 .
.
4
2
Le Roman de la Rose
 .
.
4
4
Rutebeuf
 .
.
4
6
L’histoire au Moyen Âge
 .
.
4
8
Villon
 .
.
5
0
Le théâtre au Moyen Âge
 .
.
5
2
La 
f
arce de maître Pathelin
 .
.
5
5
Du Moyen Âge à la Renaissance
 .
.
5
7
Partie I
I
Le 
xvi
e
 siècl
e
De.quelle.«.renaissance.».s’agit-il.?
 .
.
6
3
Évolution.du.contexte.politique.et.social
 .
.
6
4
Un.essor.économique
 .
.
6
4
Les.différentes.phases.du.
x v i
e
.siècle
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
6
5
Chapitre 
4
 : 
La 
première Renaissance
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
6
7
Une.représentation.du.monde.bouleversée
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
6
7
L’exemple.italien
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
6
8
Les.auteurs.de.la.première.Renaissance
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
6
9
L’humanisme
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
0
Le pétrarquisme
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
2
Chapitre 
5
 : 
La génération de 
François I
er
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
3
Enthousiasme . . .
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
3
 . . ..puis.désillusion
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
4
Essor.poétique
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
4
Marot
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
5
Rabelais
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
7
Pantagruel
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
7
9
Gargantua
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
8
1
L’école lyonnaise
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
8
3
Chapitre 
6
 : 
La Renaissance 
épanouie
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
8
5
Le.refuge.de.la.littérature
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
8
5
La Pléiade
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
8
7
Ronsard
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
9
1
Du Bellay
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
9
4
Les Regrets
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
9
5
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469
Chapitre 
7
 : 
Le 
déchirement
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
9
7
■
.
Des.écrivains.militants
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
9
8
Le théâtre tragique
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
9
9
D
’Aubigné
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
10
1
Les Tragiques
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
10
3
Montaigne
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
10
5
Les
Essais
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
10
7
Partie II
I
Le 
xvi i
e
 siècl
e
Panorama.des.événements.historiques
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
11
3
Les.troubles.de.la.Fronde
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
11
4
U
n.remarquable.développement.de.la.littérature.
durant.tout.le.
x v i i
e
.siècle
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
11
5
La.querelle.des.Anciens.et.des.Modernes
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
11
6
Chapitre 
8
 : 
Le 
foisonnement
 du début du siècle
. .  .  .  .
 .
.
11
7
Les.influences.étrangères
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
11
7
Une.indépendance.d’esprit
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
11
8
Le baroque
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
12
0
Corneille
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
12
4
Le Cid
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
12
6
Cinna
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
12
8
Horace
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
13
0
Polyeucte
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
13
2
La préciosité
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
13
4
L’Astrée
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
13
7
Chapitre 
9
 : 
Le 
triomphe
 de l’ordre 
classique
. .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
13
9
De.grands.principes.communs
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
13
9
Pascal
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
14
1
Les
Pensées
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
14
3
Le classicisme
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
14
5
Molière
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
14
8
Les Précieuses ridicules
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
15
1
L’École des femmes
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
15
3
Tartuffe
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
15
6
Don Juan
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
15
8
Le Misanthrope
. .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .
 .
.
16
0
L’Avare
.